Chyrpe, la première application de rencontres au monde pour les relations dirigées par les femmes (FLR) et le femdom, a publié son 2025 Wrapped. Agrégeant les données de plus d’un million d’utilisateurs vérifiés dans 120 pays, ce rapport complet offre un aperçu détaillé des rencontres modernes. De l’essor des gens qui mangent keto et aiment bien les pieds aux villes où l’on trouve le plus d’hommes soumis, voici comment le monde a flirté en 2025.
2025 marque un tournant culturel. L’expansion rapide de Chyrpe reflète une curiosité mondiale croissante pour la domination féminine dans l’intimité. Selon Google Trends, l’intérêt mondial pour « FLR » (Female-Led Relationships) a été multiplié par plus de dix depuis 2004, atteignant des records en 2025. Cette croissance se reflète dans l’expansion de Chyrpe : millions de connexions pour femmes dominantes et hommes soumis dans 120 pays, 1 million de téléchargements, plus de 20 articles de presse et une communauté en ligne de dizaines de milliers de followers.

En 2025, l’optimisation était la clé. Les données Chyrpe révèlent comment les utilisateurs ont « hacké » l’algorithme pour maximiser l’amour.
L’effet Emoji : Un profil avec un seul emoji reçoit le double de likes. Les plus populaires en 2025 étaient ✨, 😂, 🌅, 👍, ❤️.
Longueur de la bio : Les bios de plus de 900 caractères recevaient 3,6x plus de likes que les bios courts ou vides.
Stratégie du petit-déjeuner : Mentionner le café doublait l’engagement global. Les hommes promettant des bols d’Açai doublent leurs likes auprès des femmes, et mentionner les haricots était une stratégie efficace pour obtenir des likes masculins.
Le paradoxe fitness : Les « passionnés de fitness » obtiennent le plus de likes (+37 %), mais ceux qui ne font jamais de sport obtiennent plus de matchs que ceux qui s’entraînent « occasionnellement ».
Les données de localisation de Chyrpe révèlent des « Capitales du kink » uniques : dans les capitales, la proportion d’hommes soumis est bien plus élevée que dans le reste du pays.
🇺🇸 États-Unis : Les Américains sont moins intéressés par l’Obéissance et plus par les Cadeaux. Le Nord-Est est l’épicentre du fétichisme des pieds.
🇨🇦 Canada : L'enthousiasme par le fétichisme des pieds du Nord-Est US se prolonge dans le Sud-Est du Canada. 9,5 % des Canadiens déclarent utiliser le service comme kink, plus que dans d’autres pays.
🇬🇧 Royaume-Uni : Le café bat le thé (70 % de boost vs 18 %). L’Irlande du Nord est la région la plus généreuse pour les cadeaux érotiques et l’adoration est le kink le plus populaire.
🇫🇷 France : Les Français sont les plus grands fétichistes des pieds du monde. Mentionner la baguette multiplie les performances du profil par 3,8.

🇩🇪 Allemagne : Divisions Est-Ouest : les Allemands de l’Est sont 40 % plus susceptibles d’apprécier les jeux d’impact. La domination et la soumission sont particulièrement populaires.
🇨🇭 Suisse : « Röstigraben du kink » : les Suisses romands aiment davantage les cadeaux (+68 %) que les germanophones, qui préfèrent le Bondage et la Chasteté.
🇦🇺 Australie : Les femmes choisissent trois fois plus souvent les Cadeaux (8,8 %) que les hommes (2,8 %). L’intérêt pour la Chasteté est plus élevé qu’ailleurs.
L’évolution des rôles
Jeunesse vs expérience : Gen Z (18-24) est 3x plus susceptible d’aimer le Puppy Play et 2x plus les pieds que les seniors. Les 65+ montrent un intérêt maximal pour le Service et l’Adoration.
Polarisation des rôles : Avec l’âge, les femmes deviennent statistiquement plus dominantes (90 % des femmes 55+), tandis que les hommes deviennent plus soumis (71 % des hommes 65+).

Une étude Chyrpe 2025 montre un lien entre régime alimentaire et préférences sexuelles.
Keto : le groupe le plus orienté kink (+40 % pour Feet et Chasteté)
Omnivores : les plus enclins au Puppy Play (+43 %) et à l’Obéissance
Végétariens : leaders des dynamiques de pouvoir, plus intéressés par le Crossdressing et Domination/Soumission (D/s) (les femmes végétariennes sont 51 % plus susceptibles de déclarer D/s)
Paleo : le plus intéressé par le Pegging (+59 %)
Végans : statistiquement le groupe « moins kinky », 25 % de moins en bondage que la moyenne